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Dans la bataille avec soi-même

Dans la bataille avec soi-même

Author:   Admin

country :   États-Unis

Date de l'ajout: 15.08.2012

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Ce n'est pas un secret que la dépendance de nicotine – c’est une des dépendance qui est très répandu dans le monde entier. Beaucoup de gens la connaissent et se rendent compte des conséquences du fumer. Quelqu'un l’ignore et continue à faire ce qu'il aime. Et quelqu'un tâche de jeter l'habitude nuisible, en se rendant compte un jour qu’il est en réalité narcodépendant. Soit cette drogue léger, il agit plus lentement, mais des conséquences ce ne sont pas moins graves que, par exemple, entraîne l'utilisation de l'héroïne

Le Ministère de la Santé prévient constamment, le gouvernement interdit la publicité pour le tabac jusqu'à des heures définies du soir, la police contrôle pour que l'on ne violait pas la loi sur le fumer dans les lieux publics. Mais probablement il y aura plus efficace, la démonstration évidente des conséquences du tabagisme:

 
 
Ainsi vraiment se faite la personne – pour changer quelque chose en soi-même, il doit subir le choc improbable. Devrait passer de déclenchement dans le cerveau pour que la personne puisse se décider à quelque chose. 
 
Sur Internet on peut trouver la multitude de divers conseils sur la question comment cesser de fumer, mais tous ces choses en fait fonctionne individuellement. Si le mantra au matin comme «je ne fume pas, je ne fume pas, je ne fume pas», est assez pour quelqu'un, l'autre doit passer le cours de la réhabilitation. Mais le plus important - de se produire lutte interne avec soi-même. Il faut nettement définir – si tu veux continuer à fumer et se heurter sur les conséquences désagréables ou quand même tu te décideras de mener la vie saine.
 
C’est aussi inspirant de trouver les divers forums et les communautés, où les gens partagent leurs expériences et racontent que jeter cette drogue c’est complètement réelle, s'il tu as vraiment le désir, et la période d’utilisations n'a aucune importance. 
 
«… J'ai jeté assez facilement. Just vient rendue compte qu’en fait je ne veux pas fumer et que je ne veut pas perdre la santé, la beauté etc . Et j’ai compris que je ne prends plus de plaisir du tabac mais juste fume pour des autres raisons. C'est le moyen de faire la connaissance, cacher l'embarras, soutenir la compagnie, occuper les mains, prendre une pause au travail etc. En général, j’ai décidé résoudre les problèmes en conservant la santé. Tout est dans nos mains. Juste, on ne veut pas croire parfois à cela ».
 
«Je fumais 33 ans, quand je n’avais pas de cigarette, j’utilisais de la makhorka.  J’essayais à cesser plusieurs fois, il était inutile. Tu marches comme un fou en cherchant de quelque chose dans les poches et partout. J’ai commencé à tousser pendant la nuit, vous connaissez, qu’est-ce que c ‘est que ça la toux du fumeur. Je dormait mal, et j’avais  l'essoufflement. Maintenant j’ai décidé de cesser de fumer. Je suis allé au bains, avant d’aller j’ai bien fumé. Dans le bains j’ai bien échauffé, et après, pas de cigarette. Et le paquet de cigarettes il était ouvert sur la table (sinon, je commecerais les chercher). Au travail tout le monde fumaient, je n'affichais pas que j’ai cessé de fumer, mais je ne me permettait pas aucune bouffées de fumée (sinon, tous de nouveaux). Il y avait un grand désir de fumer. Mais j'interrompais le désir par les noix, les graines et du travail. Déjà dans un mois je me sentais plus mieux. J'arrêtais de tousser, il n’y a plus d’essoufflement, même les crachats sont devenus différents. Mais, je voulais fumer de temps en temps. En rêve je rêvait plusieurs fois que je fume, et s'étant réveillé, je réjouissais que c'était en rêve. L'aversion pour l’odeur du  tabac  je n'ai paru un an plus tard. Je ne fume pas déjà 6 ans, j’ai 67 ans. Je suis très content que j’ai pu contrôler moi-même. L'essentiel, ne pas commencer».
 
«Un matin samedi je me suis réveillée de la toux terrible ( jusqu'à cela je n’avait pas aucuns syndromes du fumeur). La toux était tellement forte que je ne pouvais pas aspirer, et j’ai commencé à s'asphyxier. J’avais eu la peur. Dans quelques jours j'ai cessé de fumer. Je ne voulais plus de fumer. Je n’avais aucune casse. Et en plus maintenant tout le temps, quand je pense de fumer, (les situations sont toujours différentes), je commence à tousser et tout le désir se détache».
 
 
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